Mardi 6 février, Grenoble commémorait en grandes pompes les 50 ans de ses jeux. Nous nous sommes réuni.e.s pour rappeler à la population, aux médias et aux responsables politiques une bien plus sombre histoire, une histoire dont la justice et l’État portent la lourde responsabilité : celle d’un homme enfermé dans les prisons françaises depuis 34 ans pour ses combats révolutionnaires. En effet, mardi 6 février, aux alentours de 18h00, des militant.es se donnent rendez vous, non pas pour rallumer « la flamme olympique » comme la mairie de Grenoble le voudrait, mais pour visibiliser un combat politique autour de la libération de notre camarade Georges Ibrahim Abdallah.
