Appel aux dons pour les lieux d’occupation Grenoblois

Appel aux dons pour les lieux d’occupation Grenoblois
Il y a un autre virus, c’est le REJET de l’AUTRE, C’est le 21 Mars aujourd’hui c’est important de le rappeler même confiné nous pouvons diffuser largement les vidéos ci dessous, On est là sans rien lacher -Rasl’front-isère
Se confiner ? Rester chez soi ? Mais comment faire quand on n’a pas de chez soi ? quand on est seul.e ? quand on est isolé.e ? Comment rester en lien ? L’idée de cette chronique est de faire du lien pendant la période du confinement, de partager et de s’informer. Tout le monde peut y participer.
https://www.modop.org/se-relier/
Témoignage du 16 mars d’un prisonnier du CRA de Lyon St Exupéry sur la grève faim face à la suppression des visites et des audiences et la crainte des prisonnier.es face au coronavirus.
Plusieurs grèves de la faim ont lieu dans d’autres CRA (Lesquin, Vincennes, Mesnil-Amelot notamment) en ce moment même. Liberté pour tou-te-s les prisonnier-e-s !
Violence au refuge lors de la nuit post électorale
Soirée organisée par le RUSF 38 (Réseau Universités Sans Frontières) dans le cadre des 5èmes rencontres de géopolitique critique organisées par Modus Operandi
Le Collectif des Jeunes Majeurs en lutte contre le département et la préfecture occupent depuis vendredi 21 février la salle paroissiale St Paul sans frontières à Grenoble pour un toit, des papiers.
Appel à manifester
le mardi 3 mars 2020, départ 7 rue lieutenant Chabal à 12h.
Venez nombreu.ses les soutenir !
Égaux, égales, personne n’est illégal !
Un toit, une école, des papiers ! /*==== PLAYER SON ====*/ /* LIGHT */
.spip_article_titre margin : 0 0 0.2em 0 ; (...)
Semaine des 5è Rencontres Géopolitique critique
Faire monde ; Penser notre rapport au monde.
Du 27 mars au 4 avril 2020, Modus Operandi et le laboratoire de sciences sociales PACTE organisent, à Grenoble et aux alentours, les 5è Rencontres Géopolitique critique. Elles visent à faire connaître au grand public les potentialités des analyses critique de la géopolitique et permettent d’ouvrir un espace d’échanges, de construire des ponts entre chercheur.euses et société civile.
Face aux (...)
Venez soutenir nos camarades qui se rassembleront devant la préfecture le mardi 18 février à partir de 11h30 pour réclamer des papiers et la régularisation de tous les travailleurs et travailleuses sans-papiers.
Tous les jeudis de 18h à 20h
En écho aux mobilisations des Gilets Noirs et à l’expulsion du camp de migrants d’Aubervilliers, il nous a semblé intéressant de publier cet article du Collettivo Militant de Rome sur la question de l’immigration. Le contexte transalpin dans lequel il s’inscrit diffère par bien des aspects du contexte français : histoire coloniale plus limitée et assimilée à la période fasciste ; centralité des dynamiques de colonisation et d’immigration intérieures dans la construction de l’État italien ; passage récent de « pays d’émigration » à « pays d’immigration » (symbolisé par la transformation de la Lega de Salvini de parti séparatiste anti-méridional en parti souverainiste anti-immigrés) ; dépendance envers le Vatican et l’UE des structures d’accueil et d’aide aux travailleurs immigrés ; émergence politique encore balbutiante de la question des enfants de l’immigration postcoloniale etc
25 personnes ont été arrêtées, 3 squats ont été expulsés, des personnes ont été frappées par la police (certaines dans l’espace public, d’autres en cellule de garde a vue). Des personnes ont été agressées par des individus inconnus. Une personne va probablement être déportée dans un pays ou sa vie est directement menacée. Ceci est un appel a l’aide !
la soirée exposé et pizza est annulée. Il y aura un gros gouter convivial après la manif au parc paul mistral.
6 février : journée de commémoration des mort·es aux frontières -
Le 6 février 2014, au moins 15 personnes sont tuées par les forces de l’ordre espagnoles alors qu’elles tentent d’entrer en Europe par la mer à Sebta (Ceuta), colonie espagnole au Maroc. Ce jour-là, la Guardia Civil tire à l’aveugle des balles en caoutchouc et des grenades lacrymogènes. Touchées par ces tirs, asphyxiées par les gaz, 15 personnes meurent noyées. Des dizaines d’autres sont blessées, arrêtées et refoulées vers le Maroc, en toute illégalité. Depuis 6 ans, le 6 février, des associations appellent à commémorer les victimes de ce crime et à dénoncer la militarisation des frontières.
Le jeudi 13 février prochain, deux maraudeuse.eur.s passent en procès au tribunal de Gap pour « outrage sur agents » et « refus de signalétique » suite à une maraude effectuée le 26 novembre dernier.
Communiqué national qui invite à créer des collectifs locaux pour co-organiser cette action
« En février 2019, dans la foulée de grèves de la faim et de révoltes dans des prisons pour sans-papier (CRA) en Ile-de-France et ailleurs, une première brochure sur trois mois de luttes (décembre-février) était sortie pour continuer à les relayer plus largement.
Depuis les mouvements collectifs ont continué : grève de la faim, incendies de cellules ou de bâtiments, communiqués, manifestations à l’intérieur des centres, montée sur les toits, des prisonnier·e·s qui se mettent en lien entre différentes prisons.
Cette brochure est faite dans la même optique que la première : non pas pour faire le récit d’une histoire qui n’est pas encore terminée, mais pour faire circuler la parole de celleux qui luttent à l’intérieur et relayer leurs revendications, pour renforcer la solidarité à l’extérieur, pour inventer d’autres moyens qui puissent entraver la machine à expulser.
Les personnes qui n’ont pas les bons papiers sont toujours raflées, emprisonnées et déportées, et la violence quotidienne des keufs et des tribunaux ne s’arrête pas. Les révoltes dans les CRA non plus ! Et à l’extérieur des gens continuent à s’organiser contre ces prisons et pour soutenir les prisonnièr·es, à Paris comme ailleurs. »
Apporte ton repas sorti du sac, on aura du "vin brûlé" (de contredande) à partager.
On se retrouve à 11h sur la place devant l’église de Clavière.
ambiance brasero, soupe et musique le soir du 24 décembre
L’appel à projet que nous dénonçons détermine les conditions d’accompagnement des MNA. Il a été publié sur le site du département le 13 septembre 2019 et clôturé le 13 novembre 2019. Il s’adresse au structures sociales et médico-sociales précise les conditions d’accueil et fixe les conditions budgétaires de cet accompagnement à 55€ par jour et par jeunes pour les mineurs, et à 25 euros par jours et par jeunes pour les jeunes majeurs (voir partie 7 de l’appel à projet). Ce budget est en moyenne trois fois moins élevé que celui des foyers qui accueillent les autres enfants confiés au Département (150 €/jour/jeune).
"Égaux, égales, personne n’est illégal !"
Manifestation de la Préfecture (13h30) au Jardin de Ville. Goûter festif à l’arrivée.
<< | 1 | ... | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ... | 27 | >>
CRIC n’est pas un collectif de rédaction, c’est un outil participatif et collectif qui permet la médiatisation d’articles que vous proposez. La proposition d’articles se fait à travers l’interface privée du site. Quelques infos rapides pour comprendre comment être publié-e !
Si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à nous le faire savoir
via le mail : contactcricgrenoble[at]mediaslibres.org