Deuxième vague, deuxième confinement
On l’a deja dit la dernière fois, le confinement risque bien d’aggraver les violences patriarcales. Confinées avec son père, avec son copain ou son/ses coloc... ou tellement seule...
Alors dans ce contexte, nos espaces feministes apparaissent comme plus que jamais necessaires.
C’est pourquoi nous ne fermons pas la bibliothèque pendant ce confinement.
