Relayé de Décolonial News :
Omar Slaouti, militant antiraciste et membre du collectif Justice et Vérité pour Ali Ziri, s’exprime à notre micro sur son expérience du Bandung Du Nord.

Relayé de Décolonial News :
Omar Slaouti, militant antiraciste et membre du collectif Justice et Vérité pour Ali Ziri, s’exprime à notre micro sur son expérience du Bandung Du Nord.
Elie Domota dénonce la domination coloniale de la Guadeloupe par l’Etat français - Bandung Du Nord
Article provenant du blog de João
En France, chaque commémoration officielle de l’abolition de l’esclavage le 10 mai comporte son lot de récupérations, d’instrumentalisations, de négation et mises en scènes abjectes.
Intervention de Saïd Bouamama au Bandung du Nord du 6 mai 2018 relayé du blog de Saïd Bouamama.
La défaite militaire de l’État colonial français à Diên Biên Phu le 7 mai 1954 fait partie de ces moments historiques marquant le passage d’une époque historique à une autre. La chute du camp retranché français après 56 jours de combats sanglant ne peut cependant pas s’analyser sur un plan uniquement militaire. Première victoire d’une lutte de libération nationale dans l’empire français, elle enclenche un processus d’émancipation nationale qui sonne le glas de cet empire. Pour saisir les causes, enjeux et conséquences de cette victoire vietnamienne qui apparaît immédiatement aux yeux des indigènes des autres colonies françaises comme leur victoire, je vous propose un cheminement an trois temps.
Dans le cadre de la Quinzaine contre le racisme et les discriminations, organisée par la ville de Grenoble le 21 mars 2017, nous avons réalisé une rencontre avec l’écrivaine Nargesse Bibimoune et une lecture collective à voix haute de son livre « Confidences à mon voile. Quatorze années au pays de la laïcité ».
Dans un contexte actuel sous tension, ce livre nous présente le parcours d’une française qui tente de résister aux polémiques liées à l’islam et les préjugés contre le Hijab, burkini ou Jilbab. Les (...)
Article relayé de https://aoc.media/. Arc-boutés sur la fable de « l’aide au développement », nombreux sont ceux qui croient encore aux contes de fée. Peu importe qu’entre 1980 et 2009, les transferts nets des ressources financières partis d’Afrique vers le reste du monde aient atteint le seuil d’environ 1.400 milliards de dollars.
Qu’est-ce donc que la « frontiérisation » sinon le processus par lequel les puissances de ce monde transforment en permanence certains espaces en lieux infranchissables pour certaines classes de populations ?
Qu’est-elle donc sinon une façon de mener la guerre contre des ennemis dont on a auparavant détruit les milieux d’existence et les conditions de survie.
du son mais aussi des témoignages, des analyses.
Texte d’appel pour la manifestation du 14 avril pour le retrait total du projet de loi Asile et Immigration
« Une maison, ce n’est pas seulement quatre murs et un toit. Depuis sa conception et sa production jusqu’à la façon dont elle est vendue, habitée, revendue et finalement démolie, cette baraque ne cesse d’être traversée par des conflits. Depuis le travail sur le chantier jusqu’au quotidien du quartier, forces économiques impersonnelles et conflits très personnels se nourrissent mutuellement. Du béton, de la ferraille, du bois et des clous. De la frustration, de la colère, de la rancœur et du désespoir. Les tragédies individuelles reflètent une tragédie sociale infiniment plus large. »
Les 17 et 18 mars s’est tenue à Rennes une Coordination Nationale de Lutte, issue du mouvement étudiant contre la sélection à l’université. Elle a abouti à un texte exposant différentes propositions de dates et de stratégies pour la suite du mouvement. La prochaine CNL aura lieu les 31 mars et 1er avril à Bordeaux.
Génération spontannées est un collectif toulousain
Elles ont produit ce texte pour le 8 mars de cette année
En vue de prolonger et de partager les multiples luttes en cours et en soutien aux migrant-e-s, et afin d’organiser collectivement une réplique nationale à la "loi Collomb", nous vous invitons à une rencontre de coordination nationale le 24 et 25 mars à Lyon.
Le 8 mars est peut-être l’occasion pour les boîtes de nuit de proposer une soirée « cocktail gratuit pour les filles » ou pour votre collègue Michel de faire la vaisselle à la place de sa femme, cela reste pour les militantes une date incontournable pour clamer haut et fort les revendications féministes. C’est dans cet objectif que le FSS de Médic’Action prend l’initiative de consacrer un mois au thème de la médecine misogyne.
Livre de 325 pages sorti fin décembre, Rage de camp revient en détails sur l’organisation du camp VMC (Bure, 2015), afin de transmettre un maximum de connaissances, pour que ce travail et ces reflexions soient réutilisables...
Un cycle d’échange, de réflexion et de formation, destiné à un large public mais surtout aux habitants et habitantes du quartier.
Le premier cycle de l’Université populaire s’est déroulé autour de rencontres-débats "Pour comprendre" sur les discriminations, l’islamophobie, les ghettos, les crispations autour de la liberté d’expression et de la laïcité. Il est né dans le contexte des attentats de Paris. A chaque séance, des références au mot "colonial" revenaient en toile de fond sans être approfondies. Il a été décidé de consacrer un deuxième cycle spécifiquement à cette question "Que reste-t-il aujourd’hui du passé colonial en France ?"
Pour aller dans le sens d’un mouvement queer et trans révolutionnaire, que nous, non blanc.he.s en France, souhaitons construire, nous avons besoin de rompre avec une approche purement identitaire qui menace tous les mouvements d’émancipation.
L’intérêt de la pensée matérialiste, au contraire d’une approche purement identitaire, c’est de comprendre que cette situation répond aux besoins du capitalisme et n’est pas le simple résultat d’une idéologie anti trans qui se corrige par des discours, voire même des actions coups de poings contre la transphobie.
Nous espérons que les mobilisations contre la loi travail dans lesquelles beaucoup de queer et trans non blanc.he.s s’impliquent déjà, un peu partout, et sans forcément être lien, puissent être l’occasion de construire des espaces de réflexion entre nous qui aboutiront ensemble à déboucher sur des pistes de luttes radicales.
"LES NOIRS ESCLAVES EN LIBYE, OU COMMENT LUTTER CONTRE L’ENCOMIENDA DE L’INFORMATION...
Table ronde avec Ardashir, Baqer, Barnard, Houssam, Julie & Olivier
violences policières, les situer pour mieux y résister
La police étant censée incarner à l’intérieur d’une société le monopole de la violence légitime, il ne saurait exister de police sans violence, légitime ou non. Mais personne ne peut avoir le dernier mot sur « les » violences policières depuis sa seule expérience propre. Qu’est-ce qui a changé depuis l’instauration de l’état d’urgence ? L’intensité, les cibles, les techniques de répression, l’articulation avec l’institution judiciaire ? L’autonomisation croissante du corps policier ou de nouvelles consignes politiques ? Et qu’est-ce qui n’a pas changé ? Nul ne peut en être assuré individuellement. Du même coup, nul ne peut connaître non plus d’avance les meilleurs moyens et les meilleures stratégies pour y résister. Avant donc de pouvoir en parler, il faut pouvoir s’en parler, écouter comment toutes celles et ceux qui les subissent, y résistent, voire les provoquent, depuis les dernières manifestations contre la loi travail ou depuis bien plus longtemps, épisodiquement ou quotidiennement, peuvent partager un savoir et des formes de luttes à la fois toujours communs et toujours particuliers. Les violences policières émergent d’une expérience collective qui ne peut d’abord s’éclairer que par une intelligence collective. C’est pourquoi nous avons voulu écouter débattre avec nous et entre eux des acteurs très différents : des militants et des réfugiés, des racisés et des blancs, des hommes et des femmes, dont le point commun est d’abord d’avoir expérimenté dans leurs corps ces formes de violence. En particulier, nous avons invité à participer à cette table ronde Barnard et Julie, membres du MILI (Mouvement Inter Luttes Indépendant) ; Houssam, membre de La Chapelle Debout !, collectif solidaire des migrant.es à Paris ; Ardashir, membre du même collectif et originaire d’Iran ; Baqer, migrant venant d’Afghanistan et Olivier, militant à la CGT.
« ON SE LAISSERA PAS FAIRE ».
Interview d’Aurélie, soeur d’Angelo Garand, abattu par le GIGN en mars dernier pour n’être pas rentré en prison après une permission.
Article paru dans l’envolée le 27 juillet 2017.
http://lenvolee.net/entretien-avec-aurelie-soeur-dangelo-garand-abattu-par-le-gign/
http://lenvolee.net/entretien-avec-aurelie-soeur-dangelo-garand-abattu-par-le-gign/
Refusons les normes ! Evitons les balles ! Jérôme Laronze a été tué par les gendarmes le 20 mai 2017. Au delà du dégoût provoqué par ce meurtre, nous sommes nombreux à nous reconnaître dans son combat contre l’hyper-administration de nos vie en général et de l’agriculture en particulier. Continuons ensemble la lutte contre la gestion par les normes. C’est le sens de ce texte du Collectif d’agriculteurs contre les normes.
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