Dans le contexte de la médiatisation de la répression suite à l’histoire du quai Valmy, on peut lire un article de Saïd Bouamama après la médiatisation du viol de Théo, qui rappelle l’omniprésence de l’humiliation, des violences et de l’impunité policière dans les quartiers populaires, où faut-il le rappeler les détentions provisoires, les assassinats par les flics et les non-lieux et acquitements suite à des violences policières sont des pratiques constantes. Le texte questionne aussi les traitements médiatiques qui mettent en exception les victimes et les faits pour mieux passer sous silence des logiques institutionnelles et systémiques.
Infos Globales
Solidarité fasse à des Agressions policières transmisogynes et tortures qui ont eu lieu en Espagne
Le matin du 28 mai 2017, dans la ville de Grenade, en Andalousie, se sont produites différentes humiliations et agression physiques de la part de quelques individus des corps et forces de sécurité de l’état Espagnol sur deux personnes (LaCalva y Jaia). Leurs actes étaient motivés par nos identité.e.s transgenres.
Le 24 octobre prochain commencera le jugement de la police. Nous sommes vivantes, mais ils nous veulent mortes. C’est pour ça que nous voulons rendre visible les faits, afin qu’ils comprennent que la rue
n’est pas disposée à ce que ça recommence
[Annulé]Gala de boxe et soirée "Soul Train" en soutien a Georges Ibrahim Abdallah, Lyon
Qui est Georges Ibrahim Abdallah ?
c’est un résistant libanais qui s’est, avec ses camarades de lutte, soulevé contre la machine coloniale et contre la hagra impérialiste. Il s’est battu pour la liberté de son peuple suite à l’agression sioniste du Liban. Habité par des idéaux de Justice et d’Égalité, il a pris les armes pour ne plus avoir à recevoir les coups de L’ oppresseur. Il est arrêté à Lyon le 24 octobre 1984 et condamné en 1987 à perpétuité pour complicité dans des actes de résistance revendiqués par les Fractions armées révolutionnaires libanaises, alors que son pays, le Liban, subissait l’invasion israélienne.
Echanges autour de la condition des agriculteurs (28 oct. 2017)
Les rencontres nationales du Collectif d’agriculteurs contre les normes étaient annoncées depuis le mois d’août (cf le communiqué du collectif). Elles sont maintenant programmées.
Aurillac 2017 : Appel à témoignages
En août 2016, les participant.e.s du festival d’art de rue d’Aurillac ont pu constater une augmentation de la présence policière, absurdement justifiée par l’« état d’urgence ». Pour entrer dans le centre-ville, il fallait subir des fouilles de sac voire au corps, et il était interdit d’avoir des objets en verre ou de l’alcool, alors même que des boissons alcoolisées étaient vendues partout dans l’enceinte du festival. Suite à ces mesures et à un certain nombre de provocations, une manif a éclaté, qui a conduit à plusieurs gardes à vue.
Descentes de police à Fribourg — Indy linksunten interdit
Le vendredi 25 aout les flics du LKA (GIGN allemand) de Baden-Württemberg ont perquisitionné quatre appartements privés et colocations, ainsi que le centre autonome KTS de Fribourg, sur ordre du ministère fédéral de l’intérieur. Pendant les descentes de police, de nombreux materiels informatiques ont été réquisitionnés - il n’y a pas eu d’arrestation. L’action était dirigée contre des supposés gérants de la plateforme dorénavant interdite linksunten.indymedia.org.
Le site n’est plus (...)
A Briançon, une voiture de police fonce dans un rassemblement de soutien aux migrants
Le 23 mai 2017, un rassemblement a eu lieu devant les locaux de la PAF de Briançon/Montgenèvre pour s’opposer à l’arrestation de plusieurs migrants qui voulaient prendre le train pour Paris. Une personne a été renversée et blessée par une voiture de police qui a voulu forcer le rassemblement. Ici, son témoignage.
Lourdes peines et répression des soutiens au procès de la deuxième mutinerie au QMC de Valence
Vendredi 10 mars 2017 se tenait le procès de deux prisonniers, Romain Leroy et José Torres, accusés d’être les auteurs de la mutinerie du 27 novembre 2016, au sein du Quartier Maison Centrale du nouveau centre pénitencier de Valence. L’appel aura lieu au TGI de Grenoble le 14 juin 2017.
Tribune en réaction à l’appel des femmes de flics
Appel des femmes contre les violences et crimes policiers et en soutien aux familles des victimes et aux militant.es en lutte
« Pourquoi tout ça ? » La famille d’Angelo Garand réclame vérité et justice
Mercredi 5 avril, Angelo Garand a été enterré dans le cimetière de Vineuil, dans le Loir-et-Cher. Une semaine plus tôt, le 30 mars, une équipe de gendarmes et d’hommes du GIGN a fait irruption au domicile de ses parents, à Seur, et l’a abattu sans sommations. Depuis, la famille Garand vit comme hors du temps, et cherche à comprendre ce qui s’est passé.
19 mars : Journée contre les violences policières aux Minguettes
Ce dimanche 19 mars, c’est la journée internationale contre les violences policières. À Paris comme ailleurs, des évènements et manifestations sont organisés par les familles de victimes de meurtres policiers et de nombreux collectifs militants. Localement, le Comité Justice et Vérité pour Mehdi organise un barbecue contre les violences policières le même jour dans le parc des Minguettes(Vénissieux) à 12h.
19 mars : Marche pour la justice et la dignité
Grande marche à Paris contre le racisme d’Etat, contre les crimes policiers, contre la guerre aux migrant.e.s, contre les guerres impérialistes, pour la justice et la dignité.
Réaction et témoignage FPS : Violences policières contre les féministes
Veuillez trouver ici la réaction du mouvement des Femmes Prévoyantes Socialistes suite aux violences policières contre les manifestantes féministes, le samedi 11 février dernier.
Pas de liberté conditionnelle pour Jacqueline Sauvage
Jacqueline Sauvage, après avoir été victime de plusieurs décennies de violences conjuguales (incluant des violences physiques, psychologiques et sexuelles) et ayant assisté aux mêmes types violences de la part de son mari à l’égard de ses filles, a tué son mari en 2012. En 2014, alors qu’elle plaide la légitime défense, elle est condamnée à 10 ans de réclusion criminelle car, selon la justice, le fait qu’elle tue son mari n’était pas une "réponse nécesaire, simultannée et proportionnée". (...)