Lucas Harel, 21 ans, est mort samedi 21 juillet dans la prison de Fleury-Mérogis. Ses proches et ses codétenus pensent à un passage à tabac.
Il y a eu un nouveau mort à la prison de Fleury-Mérogis samedi 21 juillet : Lucas Harel, 21 ans, originaire d’Epinay-sous-Sénart dans l’Essonne. C’est le 60e mort dans les prisons françaises en 2018, le 9e rien qu’à Fleury. La version de l’administration pénitentiaire, reprise dans tous les médias, est qu’il se serait pendu après un parloir avec sa (...)

relayé depuis le labo anarchiste de Valence : La Marche solidaire, arrivée à Calais samedi 7 juillet, s’est présentée dimanche matin au port de Calais pour passer la frontière franco-britannique et prendre le ferry en direction de Londres, étape finale de la marche. Les marcheuses et marcheurs ont été contrôlé.e.s par la police : les personnes avec papiers ont été relâchées, les personnes sans papiers ont été retenues.

communiqué des résidents de la maison argentine à Paris : Le directeur de la Maison de l’Argentine de la Cité Internationale Universitaire de Paris, Juan Manuel Corvalán Espina, a fait intervenir la police le lundi 6 août pour dissoudre l’occupation de la Maison, que des résidents avaient commencée le samedi 4 pour protester contre la répression politique menée par la Direction.

communiqué de Riseup du 4 juillet 2018 : "prétextant le besoin de trouver des informations sur un utilisateur de Riseup, le soutien financier de Riseup en Europe a fait l’objet d’un raid de la police bavaroise....

RESISTONS ENSEMBLE - bulletin numéro 174 – juillet/août 2018.
Au sommaire : Mort d’Ali Ziri – l’État français condamné, La carte de l’Europe se noircit, Chronique de l’arbitraire, Le 16 juin - commémoration pour Lamine Dieng, Qui sème la misère récolte la colère, À Ville-d’Avray (92), la police travaille, Procès en appel des flics tireurs du 8 juillet à Montreuil (92), Lycéens interpellés le 22 mai : victimes de la justice française, La France et le blocus de Gaza, Perquisitions sur les ZAD, Dernière nouvelle - 04/07/18

protection et respect pour les prisonniers de Seysses.
faire respecter les témoignages des prisonniers

Communiqué de L’Envolée, dimanche 22 avril 2018 :
C’est avec une certaine surprise que nous avons pris connaissance des déclarations de la Garde des sceaux dans les médias et du communiqué de son ministère le jour même de la publication de cette lettre. Pendant une semaine elle avait pourtant brillé par son silence alors que, dès l’annonce du prétendu suicide de J., des centaines de prisonniers de la maison d’arrêt de Seysses conduisaient durant plusieurs jours un mouvement de protestation

relai de la lettre de l’envolée aux journaliste et aux associations
http://lenvolee.net/category/articles-de-la-redaction/
"Les prisonniers ont raison de se révolter et ils ont raison de prendre la parole contre le sort qui leur est fait."

voici les infos, prog, dates et lieux de la conférence
ethnocubique du concubitanus festival et des tanj’heureux qui commence le 20 juillet.

article d’olivier Clochard relayé de migreurop : Alors qu’une grande partie de l’attention est tournée - à juste titre - vers les États-Unis, de jeunes migrants sont incarcérés dans le sud de la France. La criminalisation de la migration semble avoir franchi une nouvelle étape, le recours à la prison pour des jeunes dont les autorités ne cessent de bafouer les droits.
Et l’aide auprès de ces personnes ne cessent d’être mise à mal.

le 28 mai 2018 les prisonniers de saint Maur on pu transmettre au syndicat PRP leur communiqué.

Communiqué des prisonniers de Seysse du 12 mai relayé depuis le site de l’envolée https://lenvolee.net/category/articles-de-la-redaction/

"Notre lycée devient le Lycée Angela Davis - Plaine Commune et ça ne plaît pas à la direction"
La saga autour du choix de ce nom est un symptôme de la situation des établissements du 93. Face au projet de société actuel basé sur le mépris, l’austérité, face aux discriminations que vivent nos élèves, notamment les violences policières subies par les lycéen.ne.s au quotidien ou dès qu’ils osent se mobiliser comme au lycée Arago, nous souhaitons pour eux des améliorations rapides.
Comme (...)

Maison d’Arrêt de Seysses, le 19 avril 2018.
J. avait 26 ans. Samedi dernier, il était au mitard, dans une »cellule disciplinaire » de la prison de Seysses. Il y est mort. Les médias relaient une version des faits, une seule : celle des matons, les »surveillants ». Mais nous, on y vit, dans cette prison. Et on n’est ni sourds, ni aveugles. On sait que sa mort a été provoquée par la violence des matons affectés au mitard. Non, J. ne s’est pas suicidé.
Si plus d’une centaine de (...)

ANNULé.nous appelons chacun et chacune à montrer sa solidarité avec Fabrice et tou.te.s ceux et celles qui sont au QI contre leur volonté dès le début de l’été, si le 21 juin le transferts n’est pas mis en oeuvre. Individuellement ou par groupes affinitaires, dehors ou dans les prisons, multiplions les prises de paroles, les actions de revendications et de soutien.
Nous ne les laisserons pas tuer Fabrice Boromée !

article relayé de rebellyon. Actions de visibilisation des entreprises privées et associations qui participent au fonctionnement des centres de rétention.

Relayé de la liste migreurop : Après l’Assemblée nationale, le projet de loi sur l’immigration et l’asile passera devant le Sénat du 19 au 26 juin. Déjà, qu’il s’agisse des amendements ou de l’affichage sur le site de l’institution, le débat s’annonce entre indigence et obsessions réactionnaires.

Ce jeudi 10 mai 2018 se tenait l’AG de l’occupation du mouvement étudiant de la fac Paris 8 Vincennes Saint—Denis. Au cours de l’AG, certainEs d’entre nous ont repéré un individu au comportement étrange : un homme seul que personne ne connaissait et avec un look de RG. Après avoir observé un long moment son comportement suspect (il s’est déplacé plusieurs fois dans l’amphi), deux camarades ont demandé à lui parler a l’extérieur.

Emission de l’actualité des luttes du 9 mai 2018 de la radio FPP (Fréquence Paris Plurielle).

Article relayé de desarmons.net
Le 30 avril 2018, Ismaël Deh, 58 ans et père de 8 enfants, vend des goodies pour touristes à l’effigie de la Tour Eiffel près du château de Versailles quand une patrouille de police s’approche pour le contrôler. Présent en France depuis 18 ans, il a travaillé 17 ans à la plonge dans un restaurant à Cannes, sans pour autant être régularisé. Il avait été placé en rétention en 2008, mais avait échappé à l’expulsion.