Le gris du mur résonne entre tous les bâtiments du campus. Ce gris, tant d’étudiant·e·s et de travailleur·euse·s le croisent, le matin, par la fenêtre, entre deux demi-journées... Il restera toujours là, à la même place. Un peu triste, mais un peu sécurisant car il est toujours pareil, et on peut s’y retrouver, contrairement à la montagne des choses à faire qui se renouvelle en permanence.
Arrêtez ! Nous sommes là pour vous rappeler que les mur gris, comme les routines, sont des espaces qui peuvent être rendus autres. Notre message avec ses tâches de peinture est un post-it sur le grand écran gris des habitudes.
Le printemps est un excellent moment pour redessiner son quotidien et se délivrer des occupations asservissantes. Les abeilles volent, les orages ont tout lavé et le monde est neuf à nouveau.
Pourquoi pas vous ?
Voici donc une méthode simple pour s’échapper du labyrinthe des todo-lists et autres tâches récurrentes embêtantes.
1. Faire comme s’il ne fallait rien faire
2. Dans cet état d’esprit, arrêter ce qui s’apparente à du travail
3. Goûter à l’évidence de la liberté
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