L’oppression des mineurs est une réalité dans notre culture.
Quelles sont nos croyances et nos représentations de l’enfance qui l’alimentent ? Quelle trace laisse cette domination dans nos existences orchestrées par des autorités qui semblent toujours savoir mieux que nous ce qui est bon ou non pour nous ?
Mineur.. « moindre, accessoire, inférieur, secondaire, etc ». Une catégorie sociale qui n’a de place dans notre société qu’en tant qu’objet à protéger (fort mal), à former pour un futur éloigné (fort incertain), productif avant tout et non comme sujet au présent, contributeur, penseur et libre.
Je propose de faire le lien entre cette domination et les enjeux d’une nécessaire émancipation collective. Il y a urgence à avancer sérieusement. Par quelle magie de la domination la poignée de dominants qui épuise l’humanité, la plongeant dans un immense chaos, est à ce point aujourd’hui impunie ?
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