Pour dénoncer l’enfermement et les conditions de leurs détentions (violence policière, pas d’accès aux soins...), les détenus du CRA (centre de rétention administrative) ont entamé collectivement une nouvelle grève de la faim depuis le 16 mars. Article relayé de rebellyon.info.

Les récits de « violences » dans des centres de rétention français, rapportés par d’anciens retenus et des membres d’associations, font état de pratiques particulièrement cruelles commises par les officiers de police ou par certains membres de l’administration des centres de rétention administratives (CRA). Article relayé de regards.fr

Articles de la rédaction de l’envolée, Compte-rendu de procès : l’envolée est une emision de radio un journal et un site internet pour en finir avec toutes les prisons. Les comparutions immédiates dont il est question dans le compte rendu qui suit ont eu lieu il y a un mois, suite à l’acte XIII des GJ.
Notre retard dans leur publication n’enlève rien à leur intérêt dans le nécessaire travail d’observation et de critique de la justice auquel nous voulons contribuer.

Info et analyses sur la taule. lectures des lettres Julien, Christine et les prisonnier-e-s de l’asilo, les actutalité dans les CRA, discussion : l’attaque de Condé, le patron de renaud.

Soirée d’information et de témoignages
Refusons la dérive répressive !
Manifestations empêchées, dispositifs policiers démesurés, provocations policières, humiliations, perquisitions, gardes à vue, comparutions immédiates, gazages et matraquages systématiques, évacuations violentes, nassages, tirs tendus de LBD ou Flash-ball et de grenades de désencerclement, et plus de 5 500 interpellations, avec pour résultat près de 2 700 blessé·es, certain·es mutilé·es, de très nombreuses (...)

relai du blog de Saïd Bouamama Publié le 11 mars 2019 Les manifestations populaires du 22 février 2019 qui se déroulent de manière simultanée dans la plupart des grandes villes algériennes mais aussi dans de très nombreuses villes moyennes constituent indéniablement l’ouverture d’une nouvelle séquence historique dans l’histoire politique algérienne. Elles marquent l’entrée sur la scène politique d’une nouvelle génération socialisée au cours des deux dernières décennies c’est-à-dire après le traumatisme qu’a constitué la décennie noire

Dans le cadre des journées internationales du 15 mars (contre le racisme d’État et les violences policières) et du 21 mars (contre le racisme et le fascisme)
Marche contre le racisme d’État et les violences policières et pour la solidarité avec toutes les victimes
• Nous, familles des victimes tuées, violées, mutilées, blessées par la police • Nous migrant·e·s chassé·e·s, torturé·e·s, traumatisé·e·s, persécuté·e·s par l’État et le système des frontières • Nous, habitant·e·s des (...)

Deux jeunes sont morts à Mistral le samedi 2 mars dernier, poursuivis par la police. Cette histoire fait suite à de nombreuses autres, de Zyed et Bouna à Adama Traoré en passant par Rémy Fraisse. Ces histoires sont trop nombreuses et font état d’une impunité policière dans les quartiers comme dans les manifestations.
Depuis une semaine, Mistral est occupé militairement et la répression s’y déroule violemment et silencieusement sur tout.e.s les habitant.e.s du quartier. Face à cette situation, une réunion publique est organisée ce mardi 12 mars à partir de 19h30 au centre social du 38 rue d’Alembert. Ce sera l’occasion d’échanger et de s’organiser.

Organisé par le collectif "Vérité et Justice pour Mehdi", "Justice et vérité pour Wissam el Yamni" et "Groupe antifascistes de Lyon et environs"

Une marche blanche aura lieu mercredi 6 mars à 16h en soutien aux proches de Adam Soli (17 ans) et Fatih Karakuss (19 ans), et pour réclamer que toute la lumière soit faite sur cette affaire. Poursuivis par la BAC, ils sont morts trop tôt. Encore une fois, la police se rend responsable de la mort de deux jeunes. "Quand on voit Théo et Adama, on comprend pourquoi Zyed et Bouna courraient". On comprend aussi pourquoi Adam et Fatih ont pris la fuite.

Nous sommes "La RAGE" (Riposte anti oppression Grenoble et environs).
Suite à notre récente création, nous n’avons pas pu nous présenter officiellement. Toutefois, nous vous ferons suivre prochainement un texte de présentation de notre collectif. En attendant, nous vous faisons part de notre appel à mobiisation pour la journée du 09 Mars 2019.

4e Rencontres de géopolitique critique - du 4 au 16 mars sur l’agglo grenobloise

Récit d’une condamnation pénale à des heures de Travail d’Intérêt Général (TIG), par la justice, pour donner des billes à celleux qui y seraient confrontées. Au-delà du retour d’expérience, ce texte lance aussi un appel à réflexion collective sur les TIG pouvant mener à une organisation concrète, en faveur des copaines condamnées. Texte repris de Iaata.info.

« Où est notre pouvoir ? Construire des rapports de force » / Rencontre-discussion
Comment créer le rapport de force dans une lutte ? De quels moyens dispose-t-on ? A partir d’un partage d’expériences issu de luttes en cours, locales ou non, on propose d’échanger sur les témoignages de chacun.e dans le public pour faire un état des lieux, entrecroiser les expériences, d’identifier nos forces et nos faiblesses, nos ennemis et nos buts et tenter de construire des liens et des alliances. (...)

Précisions et mises à jour et liens pour suivre les évênements

Jeudi 7 février vers 6h du matin l’asilo occupato de Turin a été expulsé. voici un communiqué d’un groupe en soutien pour avoir quelques informations. L’asilo était un lieu occupé depuis 24 ans. Les personnes arrêté-e-s sont menacé-e-s de "terrorisme"

Projection à Ahwahnee ce Lundi 11 Février.

Mise au point du collectif Désarmons-les ! sur les menaces régulières qu’iels reçoivent depuis quelques temps

Départ pour Valence à 10h du centre commercial Carrefour Saint Egrève (rassemblement régional), et pour celles et ceux qui ne peuvent pas aller à Valence, rdv à 13h à la tour Perret (parc Paul Mistral).

Pour celleux qui avaient suivi, la fin de l’année 2017 avait été agitée, entre autres, par des menaces de blocage (par les fournisseurs d’accès à Internet et dans les moteurs de recherche) de deux Indymedia francophones, Grenoble et Nantes.
Les deux sites avaient en effet reçu plusieurs courriers de l’OCLCTIC exigeant le retrait de plusieurs contributions qui revendiquaient des sabotages, notamment en soutien aux personnes qui passaient en procès à cette même époque pour l’incendie d’une voiture de police pendant le mouvement contre la loi travail.