Agenda
Les évènements qui ont eu lieu :
Les mécanismes de la françafrique
18h00 - 22h00
La soirée débutera par la projection d’un documentaire de René Vautier, Afrique 50, puis des membres de l’association survie isère ferons un exposé pour présenter les mécanismes de la françafrique.
Nous terminerons la soirée sur un temps d’échange.
La Maison en A, soirée projection et discussion
19h00 - 23h30Après avoir vécu pendant des années dans des maisons qui ne lui appartenaient pas, Elizabeth, 65 ans a décidé de construire elle même la sienne. Une maison peu chère et facile à construire. Soirée en présence de la réalisatrice Morgane Launay et de la protagoniste du documentaire Elizabeth Faure. En non-mixité meufs, gouines et personnes trans. La projection sera suivie d’une discussion.
Prix libre, Bouffe Vegan.
Présentation du film :
C’est l’histoire d’une ancienne architecte qui a décidé de réaliser son rêve : construire elle-même sa maison. Mais avec le minimum d’argent, soit 40.000 euros pour 150 m2 de surface habitable. Elizabeth Faure a 65 ans lorsqu’elle se lance dans ce projet fou, c’était en 2013, près de la commune de Lusignac en Dordogne. La Maison en A, long métrage réalisé par Morgane Launay, raconte son histoire. « J’ai eu envie filmer cette mission impossible : une femme soixantenaire et sans argent qui construit quasiment seule sa maison en forme de A. Cette super-héroïne prouve que tout est possible », explique la réalisatrice.
plus d’infos et bande annonce ici
La soirée est co-organisée avec l’association La Cédille.
L’association La Cédille agit pour favoriser l’accès des femmes et des personnes subissant des discriminations de genre aux métiers perçus comme masculins. Elle vise également à valoriser les savoirs-faire traditionnels et écologiques, comme les pratiques vernaculaires du patrimoine bâti.
C’est en partant de nos vécus, avec une attention portée à l’organisation collective et le souci de l’autre, que la Cédille propose de se renforcer et de gagner en autonomie. Elle se veut un espace de réflexion, de formation, d’échange et d’entraide.
Au commencement, des maçonnes et charpentières se sont rencontrées autour de constat de discriminations communes liées à leur genre, sexe et orientation sexuelle. Il a semblé important de pouvoir contribuer à développer un réseau d’échange et de réflexion sur les moyens de déconstruire les stéréotypes de genre (ex : culte de la virilité et de la performance) et de bousculer les représentations rattachées au secteur du bâtiment et à tous les autres secteurs perçus comme masculins.
[La BAF] Présentation du livre "Pour un féminisme de la totalité" et discussion
19h30 - 22h30La Bibliothèque féministe et la BAF présente une soirée présentation de livre et discussion en mixité.
19h30 repas vegan
20h30 présentation
Comment venir ?
À pied ou à vélo : C’est à proximité du croisement des rues Stalingrad et des Alliés. C’est la première à droite après le croisement Stalingrad-Alliés quand on vient de Stalingrad.
En transports en commun (plus d’info sur tag.fr)
À 10 minute : Tram A : Arrêt Malherbe ; Bus 1 : Arrêt Alliés-Anatole France
À 2 minutes : Bus C3 et 16 : Arrêt Eugène Sue ou Clos d’or : Bus C5 : Arrêt Stalingrad-Alliés)
Laisse pas trainer ton fils (Du rap local en soutien a l’asso MmeRueTabaga)
20h00 - 00h30« Laisse pas traîner ton fils, si tu veux pas qu’il glisse … »
Près de 20 ans plus tard, le message d’NTM prend encore plus de sens. 20 ans plus tard, le rap local reste engagé pour les jeunes qui en ont besoin.
Jeudi 18 Mai, Sémor et l’Engrenage te proposent une soirée 100% rap local en faveur de l’association Mme Rutabaga
>>>>>> (www.mmeruetabaga.org). <<<<<<
Au programme :
Purple Note est un collectif de trois jeunes rappeurs locaux qui allient old et new school pour apporter un vent de fraîcheur sur la scène locale.
La premiere mixtape de Purple Note toujours en téléchargement libre sur Haute Culture : https://www.hauteculture.com/mixtape/19969/fracture-de-rimes
Jok’ est un jeune rappeur polyvalent qui délivre un concentré d’énergie et réserve bien des surprises !
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCFb59lnM3ZmIreLzup_jQ9w
Sémor - WazacreW : après une première bouillante à EVE en avril, Sémor revient distribuer ses bonnes ondes à l’Engrenage. Le rookie du Waza partage ses différentes influences dans un show éclectique plein de surprises.
OPUS CREW est un collectif hip hop présent depuis des années autant sur les scènes que dans les rues Grenobloises. Ils proposent un rap tranchant fidèle à l’école des 90’s.
Soundcloud : https://soundcloud.com/opus-crew
Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCTxKOOhsTBfevdLdi3fIMwg
Jeudi 18 Mai – L’Engrenage
27 rue Jean Prévost
38000 Grenoble
18H00 – 00H30 – Prix libre
Bar ouvert à partir de 18H00
Pas de CB sur place
Tram A Saint Bruno, Bus 12 Nicolas Chorier
Apéro-formation Transport et Précarité
18h30 - 21h30Précaires Solidaires propose un apéro-formation autour de la question du transport et précarité :
Les précaires face à l’augmentation des mesures anti-pauvres dans les transports et l’aggravation des inégalités...
Les travailleur.euse.s du transport face à la dégradation et la précarisation de leurs conditions de travail, le désengagement de l’Etat, les privatisations massives...
Faut-il agir vers la gratuité et l’égalité d’accès aux transports ?
Avec la participation de : Sud-Rail, Solidaires Semitag, collectif pour la gratuité des transports publics
Précaires Solidaires (12 bis rue des Trembles (arrêt tram A La Bruyère) Grenoble)Rencontre avec Emmanuel Mbolela ce vendredi à Grenoble
19h00 - 21h30Emmanuel Mbolela vient présenter son livre et ses récits de migrant ce vendredi 19 mai à Grenoble
La tournée est aussi un soutien pour financer une maison d’accueil de femmes migrantes au Maroc.
Rassemblement contre le meeting du FN en centre-ville de Grenoble
18h00 - 20h00Samedi 20 mai à 19 heures à la maison du tourisme, un meeting du Front National est organisé en présence de son vice-président national, Louis Aliot.
RASSEMBLEMENT DEVANT LA MAISON DU TOURISME, RUE DE LA REPUBLIQUE, SAMEDI 20 MAI À PARTIR DE 18H00
Projection-débat : « Le gang des Antillais », de J. C. Barny
19h30 - 22h30FILM-DEBAT : "LE GANG DES ANTILLAIS", en présence de Jean-Claude Barny (réalisateur) et Sébastien Onomo (producteur) : le parcours "importés" souvent de force des Antilles pour être exploités en métropole, expérience du racisme
Cinema Le Club (7 rue Phalanstère)Révoltes et luttes sociales aux Antilles après l’abolition de l’esclavage
18h00 - 20h30Projection / Débat
Le CTNE vous propose une projection sur les évènements sociaux qui secouent la Guadeloupe en mai 1967, suivie d’une discussion avec Milo Voiumba.
Tram A, arrêt Le Magasin ; Ligne C5, arrêt Cémoi)
concert de soutien au Local Autogéré
19h30 - 01h00concert de soutien au Local Autogéré (ton infoshop anarchiste grenoblois préféré) avec 3 groupes. attention, la concert aura lieu chez nos ami.es de la BAF, parce-qu’au local autogéré ça aurait été un peu serré.
La Baf (2, chemin des Alpins à Grenoble)Les amazones de la terrreur
20h00 - 23h00Mercredi 31 mai 20h à Antigone (22 rue des violettes Grenoble)
Conférence - rencontre autour du livre "Les amazones de la terreur" en présence de l’auteure Fanny BUGNON, Maîtresse de conférences en histoire / études de genre. Université de Rennes 2.
"Un terroriste sur deux est une femme" s’inquiète-t-on dans les années 1970 et 1980. Synonyme de réactivation de la violence politique dans les démocraties occidentales, cette période signe la résurgence des actes violents et collectifs motivés par des raisons politiques avec la présence remarquable et remarquée de femmes. Surnommées par les médias les "amazones de la terreur", les militantes d’organisations révolutionnaires armées comme la Fraction armée rouge (RAF) en Allemagne ou Action directe en France apparaissent comme une énigme sociale. Tour à tour décrites comme des furies, des sorcières, des pasionarias, ou encore des amoureuses manipulées par des hommes pygmalions, elles sont confrontées à une hypertrophie du regard et à une mise en abîme où histoire et mythes se rencontrent. La violence politique des femmes se heurte en somme aux "silences de l’histoire" (Michelle Perrot), aux normes et aux imaginaires sociaux, dans une période marquée par la deuxième vague féministe. Perçues comme des symboles d’un désordre social et sexué, les "femmes terroristes" sont ainsi confrontées à la classique négation de la capacité des femmes à être violentes, à la disqualification politique de leur action et à l’amalgame entre féminisme et terrorisme, éclairant ainsi la construction contemporaine et sexuée du militantisme violent.
Prix libre - ouverture dès 18h30
Antigone (22 rue des violettes Grenoblewww.bibliothequeantigone.org)