Début Janvier 2018 le laboratoire anarchiste de Valence a relayé le message de Kamel.
A lire : https://lelaboratoireanarchiste.noblogs.org/?p=10776
Le procès en appel de Kamel BOUABDALLAH a eu lieu en juin 2016 à la cour d’assises de Grenoble. Elle a décidé de la continuation du supplice de la prison , il a été condamné en première instance par la cour d’assises de Valence à vingt-cinq ans de prison. A Grenoble la cour d’appel a mis la barre à 15 ans
Kamel est toujours en prison (à la Maison d’Arrêt de Varces, quand il n’est pas à l’UHSA du Vinatier – hôpital psychiatrique pénitentiaire).
Il a toujours besoin de toute notre solidarité.
Des nouvelles de Kamel sont parfois données dans les émissions L’Envolée et Passe-Muraille.https://passemuraille.noblogs.org/post/tag/kamel-bouabdallah/
Pour casser l’oubli et dépasser les combinazione on peut aussi lui écrire à cette adresse
Maison d’Arrêt de Grenoble-Varces
B.P. 15
Kamel BOUABDALLAH N° 41057
38763 VARCES Cedex
message parvenu de la prison de Varces 33 rue du Lavoir
« Bonjour Aujourd’hui je m’adresse à vous pour un sujet important qui me tiens à cœur à moi ainsi que les autre détenu de la prison(maison d’arrêt de Varces :les téléphones en prison sont interdit ce qui empêche tout lien de communication avec ces proches (Mère,père,frère,enfant, femme…)ainsi la solitude est amplifier.vous me direz« oui mais bon il y a des parloir »mais sachez que cela sont difficile a obtenir et pas autoriser à tous donc aujourd’hui j’attends de vous une grande attention et compréhension de tous merci de partager (ce message est écris par un frère de détenu condamner à 25ans de prison ferme). »
note du laboratoire anarchiste : le centre pénitentiaire de Varces est dirigé parValérie Mousseeff depuis mai 2017 ancienne du lGroupement étudiant national d’enseignement aux personnes incarcérées (Genepi) connaît toutes les roueries associatives.. »’elle s’est imposée, elle a placé la lutte contre les violences. Et les faits de violence entre détenus et envers le personnel pénitentiaire sont donc désormais plus régulièrement poursuivis –disciplinairement ou pénalement– « pour le bien-être des agents comme des détenus », analyse la directrice. » le dauphiné libéré du 01/05/2017
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